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A propos...

Avant-propos
Benoît Sibille
Tombé dans la marmite dès le plus jeune âge...

 

Pendant les sept dernières années de ma carrière militaire, j’ai vécu par et pour le protocole. J’ai ainsi organisé (avec l’aide précieuse de mes collaborateurs directs) des centaines d’activités protocolaires dont certaines ab nihilo, des dizaines de cérémonies importantes et de funérailles d’état ou à caractère militaire. Il n’y a pas une nuit où je ne rêvais pas « protocole ».

 

Certes, il s’agissait du Protocole des Forces armées, mais le protocole n’a pas de frontière. De même qu’il doit être rigoureux mais jamais rigide, il se doit d’être exigeant mais toujours humain. Tout au plus comprend-t-il une difficulté supplémentaire quand il s’agit de rendre les honneurs militaires sous le regard critique des médias nationaux ou étrangers, de respecter des traditions dans un monde en perpétuel questionnement ou de passer sans délai de la gamelle à l’argenterie.

 

Le savoir-vivre, l’étiquette, la préséance ou encore l’attitude à adopter face au Chef de l’Etat ou aux symboles sacrés de la Nation (comme j’ai l’habitude de nommer les drapeaux et les hymnes nationaux, les Emblèmes militaires, …) sont, aujourd’hui encore, des règles et comportements indispensables à ceux et celles qui veulent, en toute élégance, évoluer dans les milieux les plus divers sans commettre d’impairs ou d’erreurs fatales.

 

Depuis ma plus tendre enfance, je suis baigné dans une atmosphère empreinte de tact et de respect à l’égard de la personne humaine et des piliers matériels ou immatériels de nos démocraties. Mon arrière-grand-père a été un temps Premier Ministre ; mes deux grands-pères ont survécu aux deux guerres mondiales et étaient, bien sûr, des anciens combattants ; mon père a été volontaire de guerre. Tout cela avait du sens, pour moi.

 

A dix-huit ans, j’acquérais mon premier guide du protocole, ma première œuvre d’art et … j’embrassais le métier des armes.

 

Toute ma vie, j’ai voulu SERVIR et être opérationnel. Je crois pouvoir dire que comme Chef du Protocole des Forces armées, j’ai, dans une certaine mesure, continué d’être opérationnel. J’ai en tout cas continué de SERVIR et de me donner à fond pour … le Roi et la Patrie.

 

Aujourd’hui, je veux mettre mon expérience et mes connaissances au service de ceux et celles qui le souhaitent ou qui en ont besoin … pour que cela jamais ne se perde.

Benoît Sibille

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Expériences passées

Le quadrilatère à bordure dorée montre qu’il faut un cadre rigoureux à toute activité protocolaire.  L’or signifie qu’il faut aussi et toujours un brin de panache. Carré, il inspire la franchise et la loyauté. Il peut également être assimilé au dernier carré, protection ultime des valeurs auxquelles on tient. La figure géométrique n’est pas fermée, ni enfermée : elle débouche sur le cadre par un de ses quartiers ouvert, mais le cadre s’adapte aux circonstances et se fond lui aussi dans le quartier. Les quartiers aux teintes élégantes représentent les ingrédients d’une bonne organisation, d’une bonne préparation, d’une bonne formation voire d’une belle éducation. Ils sont flammés pour donner du mouvement à l’ensemble, évitant tout risque d’immobilisme. On dirait un Etendard qui claque au vent ! Ainsi flammé, le logo rappelle, en effet, les bannières des régiments suisses au « Service de France » du 15e au 18e siècle.

Logotype : une identité marquée
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